Beurck, Ça Jamais, Ou… ?

Bonjour, bonjour. Oui, oui m’dame aussi au 3è. On est voisins. L’ascenseur monte.
Non, rendez vous compte? Il suffit que mon mec touche la chatte de la voisine, ici même, - et c’est la mienne qui coule. Ce n’est pas le monde à l’envers ?
Il me rend cinglé ce con, quand il baluche et déballe ses nibards devant moi dans l’ascenseur, je pourrais grimper aux murs.
Mes atouts avancés, -en plus-, il me repousse……ce conard ! Là, là c’est la chute du Niagara …même avec deux mains, je n’arrive plus retenir le courant d’effluve de ma tirelire.
Arrivé à l’étage, devant mon palier, je les tire de force à l’intérieur. J’aime qu’il lui roule une pelle, encore la porte entrouverte.
Je sais, si je tente de m’avancer, il me choute dans un coin. Ça n’a pas raté ! Mais je me relève. Je réattaque, quitte à prendre une giflée, je m’en fou.
Je veux qu’il s’en prenne à cette pétasse, qu’il lui gratte les cordes de son violoncelle – je pète la forme… Je suis là pour monter l’entrain.
Je lui arrache son short, sort sa troisième guibolle raidie, je bâillonne la pétasse. Je clamse sa tige et la plonge dans son fourreau. Ça me fais inonder le sol, je m’en fou.
– Tu vas la cingler pétard, hein ? Cuillère-la ! Allez ! Allez-vous enfin beurrer !
Oh, oh, je suis….ouh,… regardez voir comment il bouffe sa clapette,… je suis en extase, je me la cramouille…schliff-schloffa… je m’enfourne ma main… Mon mec m’assigne une fessé. Brutal comme je l’aime. Je joui de la claque, j’en demande encore… il me l’accorde. Quel pied ! Je remue mes muqueuses, je les ai bien en main, racle ma matrice.
La pétasse gueule du plaisir, aucune trace de la saint ni touche. Pardi elle reprend pied ! J’ose m’attaquer au fion de mon mec. J’échappe à une claque, puis il se joue alternant sur mon index et majeur. On-off, plus violant. J’adore l’enculer. J’administre les mêmes faveurs à la pétasse. J’ouvre son cul. Elle miaule. Bien fait pour ta gueule.

Elle joue ses basses et le violon, elle devienne virtuose. Elle m’excite, je la tringle, harmonise mes deux doigtâtes. Surveille, si je ne prends pas une gifle. Je n’ai plus de main libre pour mon clapotage. Je prends celle de la pétasse. Lui fait habiter ma grotte.

Mon mec me mord le cou, tape sur mes nichons, les faits baladés. J’adore. Il change le trou trifouillé par moi, je lui fiste sa moule, elle me rend pareil. Son colon lui fait couiner. C’est elle qui me fou une baffe de l’autre main. Ça chauffe. J’adore.
Coup de pied à la porte. On fait trop de bruit. Pas besoin de pompier, la lance d’incendie est en route. Je suis fière de mon mec. Il a déposé sa charge à ses entrailles, il se fait nettoyer sa bite, il labour sa bouche. Elle bave.
C’est joli. Il la jette parterre et il me mitraille ma clarinette. Je m’arrache les orifices de la pétasse, pour jouer le clavecin avec. Elle veut encore. Je donne tout.
Je garde l’amarrage du gourdin de mon mec, il me pilonne mon ventre. Ça clapote partout. J’aime quand ça fait du bruit. La pétasse doit partir, faire la bouffe pour son mari. Elle va revenir après. Elle veut continuer à se faire ‘saucisser’ son trou de balle. Moi je vais lui brouter sa chatte. Réciproquement évidemment. Elle à de quoi à s’abreuver avec mienne.

Une petite trêve s’impose. Les sandwichs sont prêts. Pour favoriser ma digestion, je m’assois emmanché à table. Mon fion a ses habitudes, suffit de remuer un peu le cul pour sentir la tigette foreur de mon mec… faire de la place…
Bœuf !

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